Louisa Siefert

(1845-1875)

 

Notice biographique extraite de :

Gérard WALCH, Anthologie des poètes français contemporains, 1924.

 

 

 

 

BIBLIOGRAPHIE. – Les Rayons perdus (1868) ;. – L’Année républicaine (1869) ; – Les Stoïques (1870) ; – Les Saintes Colères (1871) ; – Comédies romanesques (1872) ; – Méline, roman (1875) ; – Souvenirs, Poésies inédites.

Louisa Pène-Siefert, née à Lyon en 1845, mariée en 1875 à René d’Asti, secrétaire d’Emilio Castelar, morte deux ans après son mariage, en octobre 1877, débuta en 1868 par un volume de vers, Les Rayons perdus, dont le succès fut très grand et qui fut suivi de plusieurs autres où s’affirmait son talent très sincère et très réel. Son âme fière et loyale eut à soutenir de rudes combats, et son existence fut particulièrement douloureuse. Elle se réfugia dans l’art comme dans un sanctuaire.

Outre ses recueils de poésies, son œuvre comprend un roman, Méline (1875), et un livre posthume, Souvenirs, recueillis par sa mère.

 

 

 

 

 

 

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