Stabat

 

 

Celle toujours hélas !

Qui se penche sur nous,

Sainte et diaphane et le cœur lourd

De sept épées :

Elle sait tout de tout,

Et nous l’avons rassasiée

Du pire. Allons-nous donc encore

Creuser longtemps sous son pied triomphal

Notre sépulcre dans l’abîme

Et le fumier du temps ?

 

 

 

Armel GUERNE, Testament de la perdition,

DDB, 1961.

 

 

 

 

 

 

 

 

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